Ainsi, par exemple, vous pouvez dire à votre partenaire : «Je voudrais commencer un travail sur l'amélioration de notre communication. C'est juste quelque chose que j'ai pensé et je pense que cela serait bon pour chacun de nous!
PRINCIPES ET EXTANSIONS
Les règles de la politesse souvent érrigées comme principes, ce qui dissuade des gens de les critiquer ou les changer , qui s'emploi dans la vie de tous les jours par des termes bien précis et des sourires, des attitudes.La politesse se repose sur quelques principes fondamentaux comme respect ( de soi- même et des autres )l'équilibre, l'engagement,l'échange.
L'expansion de la politesse de conventionnalité en communauté, par exemple, dire " bonjour " n'est pas une grande marque d'attention en soi même de meme pour "pardon" qui sont des mots bien exprimant le regret et la volonté de réconciliation par pure convention.
La force
Qu'elle issue de la parole ou d'attaques bien physiques, les gens sortant du cadre de la norme subissent des pressions visant à la normalisation, le rapport de force étant avantageux pour les défenseurs de la règles concernées. Ainsi, en plus des défenseurs occasionnels des règles de la politesse, existent des gens qui imposent la règle aux récalcitrants par la force.
Citons un certains nombres de parents et les polices d'états.
La politessse est au centre de l'éducation : les enfants doivent être polis avec leurs parents,avec leurs camarades et avec leurs domestiques, ils doivent assimiler les différents codes qui régissent la politesse à l'égard de chacun selon sa position.
Conclusion
la politesse est une vertue à n'en point douter, elle constitue un barrage contre la violence.
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Aventure
Stimulants: caféine, amphétamine, nicotine, cocaïne
Dépresseurs: Alcool, Barbituriques, Benzodiazépines, OpiacésQUELQUES MOTIFS DE CONSOMMATION:
Les drogues peuvent être consommées de façon modérée ou abusive, mais les conséquences ne sont pas les mêmes dans les deux cas. Les risques associés à la consommation de drogues (dépendance, endettement, judiciarisation, etc.) peuvent varier selon la personnalité de l'individu, son environnement, la nature et le statut légal des produits consommés ainsi que l'usage qu'en fait la personne.
Les drogues sont considérées dangereuses lorsque leur utilisation entraîne des conséquences négatives pour le bien- être physique, mental, social et économique du consommateur.
L'ASSUÉTUDE :
Avec le temps, le consommateur régulier de drogue a besoin d'augmenter sa dose pour ressentir les mêmes effets. Nous parlons alors de tolérance au produit. Cette hausse de la consommation accroît le risque d'affecter sa santé.
On a longtemps considérée la tolérance comme un phénomène exclusivement physiologique, une conséquence de l'adaptation de l'organisme à un produit régulièrement absorbé de sorte qu'il faille de plus en plus de ce produit pour atteindre l'effet recherché. On reconnaît aujourd'hui qu'elle constitue aussi une réalité psychopharmacologique (en rapport aux effets exercés par des substances sur le psychisme). Occasionnellement et pour certains produits (ex : marijuana), on observe une tolérance inversée. Il s'agit d'une condition dans laquelle la réponse à une même quantité de substance apparaît plus rapidement ou plus intensément à la suite d'un usage répété. Enfin, on parle de tolérance croisée lorsque la tolérance envers une substance se généralise à d'autres substances dont l'action est semblable, par exemple, entre les anxiolytiques et l'alcool.
SYNDROME DE DÉPENDANCE / ADDICTION:
La dépendance se définit par l'état résultant de l'absorption périodique ou continuelle d'une drogue. Selon la nature de la drogue consommée (médicaments, tabac, alcool, haschisch, héroïne), l'état du sujet et sa tolérance au produit, la dépendance peut être psychique ou physique.
Une dépendance, c'est l'ensemble de phénomènes comportementaux, cognitifs et physiologiques survenant à la suite d’une consommation répétée d’une substance psychoactive, typiquement associés à un désir puissant de prendre la drogue, à une difficulté à contrôler la consommation, à une poursuite de la consommation malgré des conséquences nocives, à un désinvestissement progressif des autres activités et obligations au profit de la consommation de cette drogue, à une tolérance accrue, et, parfois, à un syndrome de sevrage physique.
Le terme addiction réfère de plus en plus à la compulsion et au contrôle des impulsions, c'est-à-dire au comportement, plutôt qu'au produit, ou en l'absence d'un produit comme dans le cas du jeu pathologique. Le terme dépendance est d'abord axé sur les produits, la notion de tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir un effet constant) et de sevrage (symptômes en cas de cessation brutale de la consommation). Le terme dépendance reste le terme de référence dans les manuels diagnostics internationaux.
DÉPENDANCE PHYSIQUE:
La dépendance physique se traduit par des troubles organiques dès que la drogue cesse d'être consommée : c'est l'état de manque, caractérisé par des vomissements, des crampes, une angoisse intense, etc.
La notion de dépendance physique se rapporte au syndrome de sevrage qui lui est consécutif. Elle résulte de l'adaptation de l'organisme à un psychotrope de sorte qu'un arrêt de consommation suscite des réactions psychologiques et physiologiques.
L'intensité des symptômes diffère selon les substances, l'individu et les habitudes de consommation. L'explication médicale, voire neurobiologique, de ce phénomène parle du temps requis (généralement de 7 à 10 jours) par l'organisme pour rétablir l'équilibre suite au dysfonctionnement de certains neurones.
DÉPENDANCE PSYCHOLOGIQUE:
La dépendance psychique se traduit par le besoin de consommer des drogues modifiant l'activité mentale. L'abstinence provoque un désir compulsif, tyrannique, de recourir de nouveau au produit.
La dépendance psychologique s'inscrit dans un processus à caractère compulsif afin d'amener le consommateur à se sentir bien ou à mieux s'adapter à la réalité. C'est un mécanisme d'adaptation coûteux, voire destructeur. Elle repose davantage sur les caractéristiques de l'individu (habitudes, états affectifs, styles de vie) que sur la substance elle-même.
La dépendance psychologique est souvent définie par le mot anglais "CRAVING" qui traduit bien l'envie extrême de consommer et de ressentir les effets du produit.
SYNDROME DE SEVRAGE:
On appelle syndrome de sevrage un ensemble de symptômes provoqués par l'arrêt brusque de consommation d'une substance psychotrope. Il varie en forme et en intensité non seulement selon les substances et les doses consommées, mais aussi selon le sujet et le contexte socioculturel où il se trouve (prison, hôpital, domicile).
On parle de sevrage lorsque l'arrêt ou la diminution de la consommation d'une substance (alcool, amphétamine, cocaïne, nicotine, opiacés, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques) amène une modification comportementale inadaptée avec des répercussions physiologiques:
(ex. augmentation de la pression artérielle, de la fréquence respiratoire, du pouls et de la température corporelle) et cognitives. La plupart des symptômes de sevrage sont les opposés de ceux observés en cas d'intoxication avec la même substance.
Plus la durée d'action de la substance est prolongée, plus le délai avant l'apparition des symptômes de sevrage sera long et plus le sevrage pourra durer longtemps. Il va de soi que si la personne consommait plusieurs substances, les interactions compliqueront le sevrage. Les symptômes les plus intenses de sevrage cessent habituellement quelques jours à quelques semaines après l'arrêt de la consommation. D'autres symptômes peuvent durer pendant des semaines ou même des mois. Si les symptômes persistent, un trouble mental primaire (sans relation avec la médication) doit être envisagé.
Il peut être très dangereux, voire mortel, d'arrêter brusquement la consommation de certains psychotropes consommés régulièrement ou de façon soutenue. Ainsi, le sevrage d'anxiolytiques ou de somnifères doit se faire sur l'avis et sous la supervision d'une personne qualifiée.
RISQUES ET CONSÉQUENCES/RISQUES SUR LA SANTÉ MENTALE:
RISQUES DE PROBLÈMES JUDICIAIRES:
DOSE EXCESSIVE (overdose):
DROGUES ACHETÉES SUR LE MARCHÉ NOIR:
DANGERS POUR LA SÉCURITÉ:
RISQUES D'ENDETTEMENT:
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UN MAL NON NÉCESSAIRE...
l’issue du jeu repose en totalité ou en partie sur le hasard.On joue donc à des jeux de hasard et d'argent quand on gage de l'argent ou un objet, quand on joue aux appareils de loterie vidéo, à la loterie, au bingo, au kéno, aux paris sportifs, aux machines à sous, au poker, aux jeux de cartes dans les casinos, etc. Savez-vous que bien des croyances erronées circulent à propos de ce type de jeu? Par exemple, certaines personnes pensent qu’elles peuvent prédire quand une machine à sous va payer… Que lorsqu’on connaît bien les jeux de hasard et d’argent, c’est possible de prédire le prochain coup gagnant… Qu’on peut apprendre à bien jouer aux loteries vidéo… En réalité, c’est faux!
Le Gambling sur Internet
Le Gambling sur Internet est un nouveau type de jeu de hasard et d’argent qui comporte plusieurs pièges. Le Dr Robert Ladouceur, directeur du Centre québécois d’excellence pour la prévention et le traitement du jeu, a mené une analyse sérieuse de ce phénomène récent. En voici les faits saillants.
Le hasard se contrôle-t-il?
Le hasard est un événement imprévu ou imprévisible, sur lequel une personne n’a aucun pouvoir. Il arrive qu’un joueur pense qu’il peut contrôler le hasard ou qu’il lui est possible de développer assez de compétences personnelles pour l’apprivoiser et l’utiliser à ses propres fins. Mais en réalité, aucune compétence personnelle ne peut agir sur le hasard. On ne peut jamais contrôler le hasard.
Un tour de jeu influence-t-il les tours de jeu suivants?
Le fait de gagner à un jeu de hasard constitue toujours un événement indépendant. Par exemple, imaginez qu’au moment même où vous répondez au facteur qui frappe à la porte, la sonnerie de votre téléphone retentisse; cela ne veut pas dire que le téléphone sonnera chaque fois que vous ouvrirez au facteur. De la même manière, chaque tour de jeu est un événement indépendant : il n’est jamais influencé par les résultats des tours précédents.
Jouer longtemps augmente-t-il les chances de gagner?
Le Dr Robert Ladouceur, directeur du Centre québécois d’excellence pour la prévention et le traitement du jeu, a une démonstration toute simple qui illustre bien les chances de gagner au jeu. Il fait remarquer qu’en lançant une pièce de monnaie quatre fois dans un jeu de « pile ou face », il est possible de gagner trois ou quatre coups consécutifs. Toutefois, en poursuivant le jeu longtemps, on doit s’attendre à retrouver 50 % de piles et 50 % de faces. Autrement dit, plus on joue, plus les chances de gagner sont égales à celles de perdre.
Quelle est la meilleure façon de gagner?
Tel que l’indique le Dr Robert Ladouceur, la seule façon prévisible de faire de l’argent aux jeux de hasard c’est de se retirer dès qu’on fait un gain. En continuant à jouer, on se fait toujours rattraper par les statistiques. Il ne faut ni jouer longtemps, ni persister à vivre dans un univers régi par la chance et la malchance.
En d’autres mots…
Le hasard n’a pas de mémoire : une machine à sous ne risque pas plus de « donner » au centième coup qu’au premier. Chaque tour est un tour nouveau.
Le hasard est insensible : qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, que le joueur soit endetté ou riche ne change rien à ses chances de gagner.
Le hasard ne fait pas les choses à moitié : aux jeux de hasard et d’argent, on gagne ou on perd. On ne passe jamais proche.
Le hasard, ce n’est pas de la magie : les porte-bonheur, les numéros chanceux,c’est amusant, mais ça n’améliore pas les chances de gagner.
La loterie vidéo démystifiée
Selon le Dr Gary Smith de l’Université de l’Alberta, la rapidité avec laquelle un joueur complète une partie sur un appareil de loterie vidéo contribue à le maintenir dans un état d’excitation. Et le joueur a également l’impression qu’il y a dans ce type de jeu une logique, un système qu’il pourra arriver à maîtriser. Dans les faits, aucun joueur ne peut apprendre à bien jouer à la loterie vidéo. La seule logique qui y prévaut, c’est celle de l’inciter à jouer toujours davantage.
C’est pourquoi les appareils de loterie vidéo sont à l’origine du plus grand nombre de cas de jeu pathologique. Comme le souligne le Dr Smith, en s’y adonnant de façon excessive, le joueur en vient à oublier qu’il dépense de vraies sommes d’argent. Et cela met souvent en péril sa vie familiale, sociale et professionnelle.
Pour que ces jeux restent un divertissement
Pour que les jeux de hasard et d’argent restent toujours un divertissement, voici huit conseils utiles:
Attention! Ces conseils s’adressent à des personnes qui n'éprouvent pas de problème de jeu. Actuellement, seule l’abstinence au jeu apparaît comme la solution à privilégier pour les gens qui ont déjà un problème de jeu.
Depuis quelques années, la pratique des jeux de hasard et d’argent a pris de l’ampleur dans notre société et a gagné en visibilité. Les raisons de jouer à un jeu de hasard et d’argent sont différentes selon les gens. Mais en général, ils tentent leur chance de temps à autre en espérant gagner.
Même s’ils ne remportent pas la mise, le jeu demeure agréable pour eux. Pour la plupart, les jeux de hasard et d'argent constituent donc un simple divertissement et une source de plaisir.
Cependant, environ 2 % d’entre eux ont aujourd’hui un problème avec le jeu.
Les joueurs qui ont un problème avec le jeu sont poussés par l’impulsion de parier. Le jeu prend alors une telle importance pour eux qu’il en arrive à dominer leur vie. Pour ces joueurs, le problème peut devenir sérieux. Il peut entraîner des conséquences graves sur les plans économique, familial ainsi que sur le plan de leur santé, comme celle de leurs proches
.
Comment savoir quand le jeu devient un problème? Quels sont les signes avant-coureurs? Quelles sont les conséquences? Cette section vous aidera à détecter quand la pratique des jeux de hasard et d’argent devient à risque, tant pour le joueur que pour ses proches et son entourage, et quels en sont les impacts.
Les 10 indices du jeu excessif
Vous êtes vous-même joueur ou vous côtoyez quelqu’un qui joue aux jeux de hasard et d’argent? Pour vous aider à détecter quand le jeu peut devenir un problème, voici des repères et dix indices. Ils vous aideront à dresser le bilan de la situation.
Mentir Les personnes qui ont un problème avec les jeux de hasard et d’argent essaient en général de le cacher à leur entourage. Alors, ils commencent à mentir à leur conjoint, à leur famille, à leurs collègues et à leurs amis.
Vouloir « se refaire » Certains joueurs disent qu’ils retournent jouer pour « se refaire », pour essayer de récupérer l’argent qu’ils ont perdu. Ils se disent peut-être qu’ils arriveront à gagner un gros montant et qu’ils arrêteront de jouer. Ou encore qu’ils ont perdu parce qu’ils ont changé de stratégie ou qu’ils n’ont pas été chanceux.Mais c’est justement à force de jouer pour « se refaire » qu’un joueur finit par accumuler les pertes et souvent les dettes.
Emprunter de l’argent Que fait un joueur excessif pour se sortir des problèmes financiers dus au jeu? Il emprunte : à sa famille, à ses amis, à ses collègues ou même à des étrangers, sans toujours donner la vraie raison de ses besoins d’argent. Il peut aussi faire payer ses dettes de jeu par les autres. Il peut utiliser ses cartes de crédit jusqu’à leur limite ou hypothéquer une seconde fois sa maison.
Miser toujours plus Un peu comme une personne qui a des problèmes avec l’alcool ou les drogues, un joueur excessif doit augmenter sa « dose » de jeu pour éprouver du plaisir. Autrement dit : il a besoin de miser des sommes de plus en plus importantes pour atteindre l’excitation qu’il recherche. Malheureusement, plus il mise… plus il perd.
Être préoccupé par le jeu Dans ce cas, le joueur n’arrête pas de penser à ses dernières expériences de jeu et à ses prochaines tentatives. Il va jouer dès que l’envie lui passe par la tête. Et il cherche les moyens de se procurer de l’argent pour aller jouer.
Ne pas pouvoir s’arrêter de jouer Le joueur est conscient de toutes les conséquences négatives qu’entraîne sa pratique excessive des jeux de hasard et d’argent. C’est pourquoi il veut cesser de jouer. Il fait alors des tentatives en ce sens. Mais, malgré ses efforts répétés, le joueur ne peut pas résister à l’envie de jouer.
Jouer par besoin Lorsqu’il tente de réduire ou d’arrêter sa pratique excessive du jeu, le joueur présente des « symptômes psychologiques de sevrage ». Un peu comme une personne qui a des problèmes avec l’alcool ou les drogues, il devient alors irritable, impatient, agité ou tendu s’il n’a pas sa « dose » de jeu.
Jouer pour oublier En jouant, le joueur cherche à se changer les idées, à oublier ses difficultés, à diminuer son stress. Le jeu n’est plus un simple divertissement : il est à présent l’activité qu’utilise le joueur pour se sentir mieux, fuir ce qui le préoccupe. Et c’est là que le jeu devient lui-même une source de problèmes pour le joueur.
Voler ou frauder pour jouer Malgré ses pertes, le joueur persiste à jouer et s’appauvrit sans cesse davantage. Emprunter de l’argent à sa famille, à ses proches ou ses collègues ne suffit plus. Pour financer sa pratique du jeu, pour tenter de régler ses difficultés en gagnant un gros montant, le joueur en vient à commettre des méfaits, des actes illégaux.
Jouer est plus important que tout Le joueur est devenu tellement dépendant du jeu et de l’espoir de « se refaire » qu’il s’enfonce de plus en plus dans les difficultés financières, familiales, sociales et professionnelles. Toute la vie du joueur tourne autour de sa pratique du jeu et tous les aspects de sa vie en sont graduellement affectés. Le jeu met alors en danger ses relations avec sa famille et ses proches, son emploi ou ses possibilités d’études ou de carrière.
Connaître les dangers des Jeux de hasard
La prolifération des jeux de hasard et des sites de paris sur Internet n’a fait qu’augmenter le nombre impressionnant de jeunes qui s’adonnent au jeu. C’est devenu chez les adolescents une dépendance plus importante que la cigarette, l’alcool ou les drogues. Selon un sondage de l’Université McGill, 30 pour cent des élèves montréalais de 1re secondaire jouent à des jeux de hasard au moins une fois par semaine et les adolescents sont de deux à quatre fois plus susceptibles que les adultes de devenir des joueurs compulsifs.
Qu'est-ce que le jeu excessif ?Les jeunes qui maîtrisent bien les nouvelles technologies se tournent de plus en plus vers les sites Internet de jeux de hasard parce qu’ils sont faciles d’accès, pratiques et anonymes. Un sondage mené par le Réseau en 2001 sur les activités des jeunes en ligne rapporte que deux élèves du secondaire sur dix ont déjà visité un site qui accepte des paris. Il suffit de disposer d’une carte de crédit reconnue, comme en possèdent souvent les étudiants universitaires et même certains élèves du secondaire
Au Canada et aux États-Unis, une loi interdit aux mineurs de parier sur Internet, mais elle est difficile à appliquer. Les jeunes cachent souvent leur âge et leur lieu de résidence quand ils s’inscrivent sur les sites de paris en ligne. En 2002, une étude de la U.S. Federal Trade Commission a découvert que, sur 100 sites de paris, 20 pour cent n’affichaient aucune restriction concernant l’âge des participants et que la majorité n’avaient aucun dispositif efficace pour empêcher la participation de mineurs.
Les jeunes n’ont pas à chercher longtemps pour trouver des jeux de hasard en ligne. Les casinos inondent Internet de leurs publicités, qui apparaissent sur des sites populaires auprès des adolescents et même des enfants. Beaucoup de jeunes parient sur des événements sportifs dans des sites qui classent ensuite leurs résultats par rangs et offrent des prix aux meilleurs joueurs. Ils ne sont pas considérés comme de « vrais » sites de paris parce que leurs participants ne jouent pas pour de l’argent. Il reste que c’est un apprentissage du jeu et que beaucoup de ces sites ont des liens vers de « vrais » casinos.
« Neopets.com », par exemple, est un site immensément populaire chez les préadolescents canadiens. Il peuvent y créer des animaux de compagnie virtuels don’t ils doivent prendre soin. Pour ce faire, on invite les jeunes à aller chercher dans des jeux des « néopoints » pour acheter de la nourriture ou d’autres produits. On y retrouve, en particulier, une section inspirée des casinos avec des noms comme « Neopoker », « JubJub Black Jack » et « Diceroo ». Dans le passé, Neopets a déjà encouragé ses jeunes utilisateurs à visiter les sites de ses commanditaires et à s’y inscrire. Et, bien sûr, les commanditaires en question sont souvent des sites de casinos et de jeux de hasard en ligne.
Pourquoi un site destiné aux 8 à 12 ans fait-il la promotion de sites de jeux et de paris pour adultes? En préparation de l’avenir! L’industrie du jeu figure déjà parmi les commerces les plus rentables sur Internet, et l’on prévoit que son importance va décupler d’ici quelques années.
L’idée est donc de développer le plus tôt possible chez la nouvelle génération l’habitude et le goût des paris et des jeux de hasard. Une stratégie que l’industrie n’admet pas ouvertement, mais cela ne l’a pas empêchée durant un congrès à Toronto en 2001 de faire souvent référence aux jeunes comme « marché potentiel encore inexploité ».
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La Semaine québécoise de réduction des déchets bat son plein. La Ville de Gatineau et différents organismes font le point sur les efforts déployés pour améliorer la gestion des matières résiduelles.La Ville de Gatineau estime que les citoyens recyclent beaucoup plus depuis que les gros bacs de recyclage sont disponibles. La Ville a déjà distribué près de 80 000 bacs, et 140 autres, plus gros encore, sont utilisés dans des édifices à logements depuis peu de temps. « On pense que le taux de recyclage a augmenté de 20 % depuis qu'on les a distribués », estime le conseiller Patrice Martin.Cependant, des organismes de défense de l'environnement estiment qu'il reste beaucoup de travail à faire, et que l'approche de la Ville n'est pas forcément la meilleure. La directrice générale du Conseil régional de l'environnement et du développement durable de l'Outaouais (CREDDO), Nicole Desroches, déplore que la réduction des déchets ne soit pas mise en valeur par la Ville: « Tant mieux s'il y a le bac bleu immense. C'est prouvé que lorsqu'on a quelque chose de plus grand, on en met plus. Mais le but, c'est quand même de réduire à la source. Ce n'est pas parce que tu as un plus grand bac qu'il faut que tu consommes plus, et que tu en mettes plus dans ton bac. »Toutefois, des signes démontrent que de plus en plus de citoyens sont sensibles à la façon dont sont gérées les matières résiduelles. D'ailleurs, ils sont nombreux à s'être présentés à l'écofoire organisée samedi par la Ville de Gatineau. À cette occasion, de nombreux exposants et conférenciers expliquaient l'importance de recycler, mais aussi de réduire les déchets dans les foyers.Pour l'instant, les élus de la Ville de Gatineau se réjouissent de constater le nombre croissant de bacs bleus dans les rues de Gatineau. Ils espèrent que les bacs de compostage seront aussi populaires à compter de 2011.
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Ce message est dédié à la mémoire de tous ceux qui partent beaucoup trop tôt!
Malheureusement, trop souvent autour de nous, un ami, un collègue ou un membre de notre famille est habité par ce sentiment ou cette pensée de vouloir mettre fin à ces jours! Certains vous diront que ce n'est qu'une minorité qui passent à l'acte, moi je répond à ceux-ci que c'est encore beaucoup trop et qu'il faut savoir écouter et décoder leurs souffrances profondes. Ces personnes doivent être consumé par un mal de vivre si intense...un mal d'être! J'espère que toutes ces personnes chercheront de l'aide quelque part, auprès des organismes ou d'un parent. Parce que si cela arrivait dans votre entourage... Sauriez-vous le voir venir!
LE SUICIDE
Le suicide (du latin suicidium, du verbe sui caedere « se massacrer soi-même ») est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical, on parle aussi d’autolyse (du grec αὐτο- / auto- « soi-même » et λύσις / lúsis « destruction »).
Pour considérer qu'on est en présence d’un suicide, la mort doit être l’intention de l’acte et non simplement une de ses conséquences. Un attentat-suicide, par exemple, sera considéré comme relevant plus d’une action terroriste ou d'une forme de martyre, selon la personne qui parle, que du suicide. Si le suicide a des conséquences légales, il doit être généralement prouvé qu’il y a eu intention et mort pour que l’acte soit qualifié comme tel selon la loi.
Le suicide est un acte complexe, qu'on ne peut pas prétendre approcher avec une seule discipline. C'est pourquoi, lorsqu'on parle de suicide, il est logique de faire appel à la médecine, la psychopathologie, la sociologie, l'anthropologie, la philosophie, la théologie, l'histoire...
MODÉLISATION DU COMPORTEMENT SUICIDAIRE
« Il est très important de pouvoir modéliser le comportement suicidaire car sa prédictibilité est actuellement très faible. Bien que la majorité des sujets qui font une tentative de suicide ou se suicident ne sont pas connus comme souffrant d'un trouble psychiatrique, les enquêtes dites « d'autopsie psychologique » réalisées dans l'entourage de sujets suicidés nous montrent que 90 à 95 % des sujets décédés par suicide présentaient un trouble psychiatrique. »
— Conférence de consensus, La Crise suicidaire
Deux modèles principaux ont été développés pour expliquer et prévoir le comportement suicidaire. Ces deux modèles se complètent plus qu’ils ne s’excluent.
Le modèle stresse prédisposition:
Les auteurs partent des constatations suivantes : 90 % des victimes de suicide souffraient d’une pathologie psychiatrique au moment de leur mort mais beaucoup de patients psychiatriques ne font pas de tentatives de suicide. Un diagnostic psychiatrique est une condition nécessaire mais non suffisante pour se suicider. Il est donc nécessaire d’identifier des facteurs de risque suicidaire en dehors du diagnostic psychiatrique.
Une tentative de suicide antérieure est le meilleur prédicateur d’une tentative de suicide future mais seulement 20 à 30 % des patients qui se suicident ont fait avant une tentative de suicide. Un premier résultat important est que les patients qui font une tentative de suicide ne diffèrent pas significativement de ceux qui n’en font pas en termes de sévérité de la psychopathologie aiguë. Ceci va à l’encontre d’une idée reçue selon laquelle la gravité des symptômes prédispose au suicide.
Par contre, l’intensité de l’idéation suicidaire est un facteur de risque de passage à l’acte. Dans le risque suicidaire, la pathologie intervient par certains paramètres longitudinaux :
Des éléments stables du comportement sont retrouvés comme des marqueurs de prédisposition :
Le modèle dit du processus suicidaire:
C'est le modèle qui a été retenu par l’INSERM dans ses travaux sur le suicide. Il est possible d’observer un processus suicidaire chez l’individu avant le passage à l’acte. Les personnes suicidaires présentent une fragilité (facteurs de risque accumulés) qui les prédisposerait à réagir de façon inadaptée lors de situations stressantes. Une perte quelconque (exemple : perte d’un(e) ami(e) ou deuil d'un proche) enclenche le processus. Une période dépressive suit la perte ; puis l’étape de la crise s’installe. L’état de crise peut être accompagné d’idéations passagères qui se transformeront en rumination, puis en cristallisation (formation d’un plan précis pour passer à l'acte : où ? quand ? comment ?) pour aboutir à la tentative planifiée. Dans la majorité des cas, le suicide n’est donc pas un acte impulsif, mais plutôt un acte prémédité qui résulte d'un processus bien défini. Ceci permet de réaliser qu'une intervention spécifique est possible à chacune des étapes. La personne intervenant auprès d'un individu suicidaire doit être attentive aux signes associés à chaque phase du processus.
Le processus suicidaire est un processus qui se déroule sur quelques heures ou quelques jours. On y distingue trois étapes :
Les études faites sur la cognition du suicide ont trouvé les caractéristiques suivantes qui prédisposent au passage à l’acte suicidaire en situation de stress :
Cette cognition particulière semble devoir être mise en relation avec un déficit des fonctions exécutives avec en particulier des difficultés dans l’élaboration des stratégies de prise de décisions comme cela a été montré dans une étude récente. Enfin, nous dirons quelques mots de la neurobiologie du suicide. Le trait très régulièrement retrouvé est le dysfonctionnement du système sérotoninergique que celui-ci soit attesté par une diminution des métabolites urinaires de la sérotonine, ou des métabolites au niveau du liquide céphalorachidien, ou encore par une baisse de la fixation de la sérotonine au niveau préfrontal.
PRÉVENTION DU SUICIDE
Le suicide est généralement annoncé ; beaucoup de suicidés essaient de prévenir leurs proches et laissent une lettre d'adieu afin d'expliquer leur geste. Ces pensées sont à prendre au sérieux ; s'il y a un risque de tentative de suicide, il faut en parler avec la personne ouvertement afin de pouvoir l'éviter. L'évocation de la mort avec une personne, poser la question « avez-vous pensé à la mort ? » n'est pas suicidogène, mais permet au contraire de montrer que l'on comprend la souffrance. Lorsque l'on discute, il ne faut pas porter de jugement ; on peut tenter de lui faire se remémorer d'anciens problèmes et les stratégies qu'elle avait mises en œuvre pour les résoudre.
Selon le professeur Michel Debout :
« Lorsqu’on pense qu’une personne va mal, il ne faut pas hésiter à lui dire ce que l’on ressent. Et la manière dont on lui dit est importante. Si vous lui demandez : « ça ne va pas ? », elle risque de se renfermer dans une réponse de type : « Mais si ça va très bien. » Alors que si vous dites « je te sens mal », vous vous impliquez personnellement, et vous montrez que non seulement vous offrez une écoute, mais même un véritable dialogue. À partir de là, tout dépend de la situation et de votre lien avec elle. Mais vous pouvez essayer de l’orienter vers un soutien, un spécialiste ou une association qui pourront l’aider. »
Les personnes qui ont fait une tentative de suicide sont en général prises en charge en service de soins aigus à l'hôpital (à la suite d'un empoisonnement ou à des blessures nécessitant souvent une réanimation). Une fois l'épisode critique surmonté et l'éloignement de tout danger vital, le patient est orienté vers un service de psychiatrie.
L'hospitalisation est volontaire dans la grande majorité des cas, mais certaines dépressions sévères (mélancolie, dépression délirante) peuvent entraîner une hospitalisation à la demande d'un tiers, voire une hospitalisation d'office. Dans tous les cas, les sujets ayant fait une tentative de suicide doivent être évalués par un psychiatre, et souvent orientés vers une structure adaptée à la prise en charge d'une cause curable de suicide (dépression très souvent, mais aussi psychose, alcoolisme, etc.). Dans le cas d'un séjour en psychiatrie, il est proposé un suivi ultérieur en consultation psychiatrique (hospitalière ou avec un psychiatre libéral). Malgré ces efforts de prise en charge et la possibilité d'hospitalisation contre le gré du suicidant, en France, un quart des adolescents mineurs suicidants sortent de l'hôpital sans avoir eu de consultation psychiatrique.
Cette prise en charge des personnes qui tentent de se suicider est importante car les risques d'une nouvelle tentative sont grands (75 % dans les deux ans). Il est cependant aussi nécessaire de faire une prévention du suicide en amont. Cela passe par l'explication de ce qu'est la dépression. Il serait souhaitable que médecins (60 à 70 % des suicidants consultent un médecin dans le mois qui précède le passage à l'acte, dont 36 % dans la semaine qui précède), enseignants et de manière générale toute personne en contact avec des adolescents ou des personnes en détresse sociale soient formés, des campagnes publicitaires soient menées afin de sensibiliser l'ensemble de la population à ce problème et d'aider les personnes susceptibles de se suicider à abandonner cette idée en leur ouvrant la voie à d'autres alternatives.
L'idéal serait de convaincre la personne de consulter un médecin ou de contacter une association spécialisée. Si l'on sent que le passage à l'acte est imminent, il faut prévenir les secours (en priorité la régulation médicale, le « 15 » en France, le «112» en Europe pour les urgences diverses).
Cependant, l'écoute dans le but de faire exprimer à la personne ses difficultés ne constitue qu'un premier stade de la prévention.
(photo ci haut :Le suicude d'Ajax)
Aide téléphonique :
Ce premier stade est généralement pris en charge téléphoniquement par des associations.
Tous ces services (en France et en Suisse) « se cantonnent exclusivement à l'écoute » et n'interviennent pas « même sur demande expresse de la personne en détresse ».
Si la personne est jugée en danger immédiat, les intervenants du 1-866-APPELLE retraceront l'appel et enverront des secours. C'est une ligne d'intervention.
Sauf pour les anglophones où le service de SOS Amitié spécialisé peut orienter vers un psychiatre anglophone voire appeler les pompiers « à la demande expresse » de la personne.
SOS Amitié a aussi un service d'écoute par courriel mais avec des délais de 48h pour les réponses.
Aide internet :
Des forums francophones affirmant procurer un soutien psychologique existent actuellement sur Internet
Selon certains, il convient d'aborder ces sites avec circonspection en raison de :
l'impossibilité de contrôler la compétence des interlocuteurs : un site internet étant facile à créer, il n'apporte pas le gage d'une structure pratiquant la formation interne et l'évaluation de ses personnels;
le décalage culturel pouvant exister entre les personnes parlant la même langue mais pouvant être de culture très différente
.
Ces deux facteurs pourraient mener à une aide inadaptée, qui pourrait même être suicidogène.
SOS Amitié Internet, dans le prolongement de son écoute téléphonique, offre un service d'écoute web gratuit, fonctionnant par courriel, pour donner aux personnes la possibilité de mettre des mots sur leurs difficultés et leur souffrance. Les personnes qui répondent aux messages appartiennent à l'équipe d'écoute au téléphone et ont suivi une formation spécifique à l'écoute écrite. Les messages reçus reçoivent une réponse sous 48h.
Pour nous joindre et discuter de ce sujet ou d'un autre visitez et inscrivez vous sur notre tchat 100% gratuit a ce lien:http://quebecavecunq.monvisiocam.com/
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